- matériel réel
locomotive diesel CC DF-100 ONCF, série 101 à 114,
modèle dérivé des locomotives CC 72000 de la SNCF.
année de construction: 1968 à 1970,
puissance: 2650 kW,
vitesse maximale: 90/135 km/h,
masse: 109 tonnes,
longueur: 20,19 mètres,
service: rapides et express, train marchandises sur les lignes non électrifiées,
oncf
Description :
salut tt le monde. finalement un blog qui mis en valeur tout ce qui est en relation avec le monde des trains: des inforamtions techniques et tout voila soyez le bienvenu et n'oubliez surtout pas de mettre des commentaires ca sera sympa
a++
Achraf BARAKAT
- matériel réel
locomotive électrique CC E-900 ONCF, série 901 à 903,
modèle dérivé des locomotives CC 6500 de la SNCF.
alimentation: 3 kV continu,
année de construction: 1969/1970 ,
puissance: 5500 kW,
vitesse maximale: 75/125 km/h,
masse: 114 tonnes,
longueur: 20,19 mètres,
service: rapides et marchandises,
locomotive électrique CC E-900 ONCF, série 901 à 903,
modèle dérivé des locomotives CC 6500 de la SNCF.
alimentation: 3 kV continu,
année de construction: 1969/1970 ,
puissance: 5500 kW,
vitesse maximale: 75/125 km/h,
masse: 114 tonnes,
longueur: 20,19 mètres,
service: rapides et marchandises,
Le Maroc a prévu d'investir une somme de 1550 millions d'euros dans ses chemins de fer pour la periode allant jusqu'en 2010. Parmi les principaux projets, on note :
L'amélioration des liaisons ferroviaires entre Tanger et Ras-Rmel (le nouveau port de Tanger), avec création d'une ligne nouvelle en voie unique non-électrifiée de 45 kilomètres entre ces deux sites, et d'un shunt de 47 kilomètres entre Sidi Yahya et Mechrâa Belksiri. À terme, celà permettra de réduire les temps de parcours sur Casablanca-Rabat-Tanger et de développer le trafic des conteneurs. La ligne devrait entrer en service en 2008.
L'achêvement de la ligne Taourirte-Nador, desservant une région riche en minerais
Le doublement des voies entre Nouasser et Jorf Lasfar, commencé en 2005 et devant se terminer en 2007.
L'achêvement des rectifications de tracé et du doublement du tronçon Meknes-Fès, déjà mis en service en juillet 2005 entre Sidi Kacem et Meknes.
La construction d'une ligne à grande vitesse Casablanca-Marrakech-Agadir, permettant de couvrir les 475 kilomètres en deux heures. La première phase des travaux doit commencer avant la fin de l'année 2007.
L'amélioration des liaisons ferroviaires entre Tanger et Ras-Rmel (le nouveau port de Tanger), avec création d'une ligne nouvelle en voie unique non-électrifiée de 45 kilomètres entre ces deux sites, et d'un shunt de 47 kilomètres entre Sidi Yahya et Mechrâa Belksiri. À terme, celà permettra de réduire les temps de parcours sur Casablanca-Rabat-Tanger et de développer le trafic des conteneurs. La ligne devrait entrer en service en 2008.
L'achêvement de la ligne Taourirte-Nador, desservant une région riche en minerais
Le doublement des voies entre Nouasser et Jorf Lasfar, commencé en 2005 et devant se terminer en 2007.
L'achêvement des rectifications de tracé et du doublement du tronçon Meknes-Fès, déjà mis en service en juillet 2005 entre Sidi Kacem et Meknes.
La construction d'une ligne à grande vitesse Casablanca-Marrakech-Agadir, permettant de couvrir les 475 kilomètres en deux heures. La première phase des travaux doit commencer avant la fin de l'année 2007.
Après l'échec relatif des E 900 Alsthom, l'ONCF décide de diversifier ses approvisionnements et se tourne vers la Pologne, qui dispose d'un réseau électrifié en 3000 volts et a une certaine experience en ce domaine. Depuis 1971, les PKP mettent en service de puissantes locomotives pour trains de marchandises, les ET 22. C'est ce modèle qui est retenu par les dirigeants marocains, et fournis par l'intermédiaire du consortium Kolmex
Les E 1000 constituent une version export des ET 22 des PKP, désignées comme type 201 E (ou 210 Es ?) par le constructeur. Elles diffèrent du modèle polonais par un toit plus bas (pour des raisons de gabarit) et par la suppression des vitres latérales de cabines.
Engagées sur l'ensemble du réseau lors de leur livraison, elles permettent d'évincer les séries plus anciennes datant des origines et connaissent une courte periode de gloire en tête des trains nobles du réseau. Elles commencent à reculer avec l'arrivée des japonaises. Les premières réformes intervienent dans les années 1990. Ce sont alors les plus vieilles locomotives électriques de l'ONCF, ce qui n'est pas bon signe. En 2003, il en reste encore six qui n'assurent plus qu'un service local de marchandises entre Marrakech et Safi et entre Casablanca et une papeterie située entre Kenitra et Sidi Kacem. A la fin de l'année, les E 1003, 1018 et 1021 sont rachetées par l'opérateur privé polonais Chem Trans Logistics. Débarquées à Gdnya en décembre, elles sont expédiées aux ateliers ZNTK pour rénovation le 16 février 2004.
Les E 1000 constituent une version export des ET 22 des PKP, désignées comme type 201 E (ou 210 Es ?) par le constructeur. Elles diffèrent du modèle polonais par un toit plus bas (pour des raisons de gabarit) et par la suppression des vitres latérales de cabines.
Engagées sur l'ensemble du réseau lors de leur livraison, elles permettent d'évincer les séries plus anciennes datant des origines et connaissent une courte periode de gloire en tête des trains nobles du réseau. Elles commencent à reculer avec l'arrivée des japonaises. Les premières réformes intervienent dans les années 1990. Ce sont alors les plus vieilles locomotives électriques de l'ONCF, ce qui n'est pas bon signe. En 2003, il en reste encore six qui n'assurent plus qu'un service local de marchandises entre Marrakech et Safi et entre Casablanca et une papeterie située entre Kenitra et Sidi Kacem. A la fin de l'année, les E 1003, 1018 et 1021 sont rachetées par l'opérateur privé polonais Chem Trans Logistics. Débarquées à Gdnya en décembre, elles sont expédiées aux ateliers ZNTK pour rénovation le 16 février 2004.
Les DM 600 sont une évolution du modèle SW 1001 d'EMD (série DI 500) fabriquées au Royaume-Uni.
Il s'agit de machines de manoeuvres diesel-électriques classiques, l'alternateur principal de 715 Kw alimentant quatre moteurs de traction de 157 Kw suspendus par le nez.
Les DM 600 assurent les manoeuvres lourdes et les remontes dans les divers triages du pays.
Il s'agit de machines de manoeuvres diesel-électriques classiques, l'alternateur principal de 715 Kw alimentant quatre moteurs de traction de 157 Kw suspendus par le nez.
Les DM 600 assurent les manoeuvres lourdes et les remontes dans les divers triages du pays.
Partage